mercredi 16 avril 2014

Conseil d'un homme aux femmes




Ce qui va suivre n’est que le produit d’un cerveau presque pas trop torturé et par conséquent ne reflète en rien la pensée de tous les hommes, mais au contraire, sans faire dans la généralité, essaye d’expliquer, de son point de vu, la relation que ceux-ci ont avec les femmes.

Plus clairement, je vais essayer de vous dire, à vous femmes, en tant qu’homme pas très responsable mais convaincu de la cause de l’égalité des sexes, comment réagir avec les hommes (sans faire de généralité, rappelons-le).

Mise en bouche

Pour commencer, j’aimerais poser l’hypothèse que les êtres humains ont souvent du mal à ce comprendre et que cet état de fait s’exaspère entre les hommes et les femmes.
De là, vient certainement une grande part de l’injustice qu’éprouvent les femmes face aux hommes.

En ce qui concerne les relations interpersonnelles, et notamment les relations amoureuses, il s’avère que les injustices sont grandes et que les déceptions et autres violentes ruptures sont l’apanage de nos sociétés.

Dans un autres temps, autant que du côté femmes que du côté hommes, on se plaint de maux souvent identiques : routine, lassitude, exaspérations…, qui mènent souvent à aller voir ailleurs, un peu, parfois, souvent, et trouver quelqu’un d’autre pour finalement partir définitivement….

Facteurs d'attirance : la disponibilité

Tout commence quand deux personnes se plaisent. Se plaisent ? Et bien, pas toujours, mesdames. Et surtout se plaisent comment ?
Je ne vais pas parler ici de coup de foudre ou de grand amour, mais essayer d’expliquer rapidement ce mécanisme afin d’introduire un élément clef :

Deux personnes se rencontrent et la somme de plusieurs traits autant physiques qu’intellectuelle, sociales que psychologiques nous conduisent à être attirés à un certain degrés. Cette attirance peut prendre peu ou beaucoup de temps, là n’est pas la question.

Ce qui peut être déterminant dans cette attirance et ce qui d’ailleurs amorcera le passage à l’acte (en dehors du viol), c’est la disponibilité de l’autre.

La disponibilité, ou plus précisément la démonstration de sa disponibilité. En effet, une personne réceptive à nos interactions nous attirera plus facilement (ce qui peut faire croire à un homme, qu’une femme qui aime être avec lui, veut passer à l’acte).
Ce qui est intéressant, c’est que phénomène fonctionne même quand les critères habituels de choix de son partenaire  ne sont pas réunis et sont parfois même absents.
Cela est vrai surtout chez l’homme pour des raisons que nous verrons plus bas. En effet,  il résiste moins bien que les femmes à cette appel de la disponibilité, ce qui est un gros problème pour un couple monogame.

Les problèmes

De plus, des facteurs négatifs au sein du couple peuvent favoriser le passage à l’acte en abaissant les barrières de l’attirance de la disponibilité.

Ces facteurs sont ceux que j’ai nommé succinctement plus haut :

-la routine dans un couple est la fin du passage passionné du début de la relation. On se lève, on se brosse les dents, on mange, on travaille, on rentre, on mange, on se brosse les dents, on se couche.
Aucun des deux n’est pas assez courageux pour prendre les choses en main et casser cette routine, alors on laisse couler (mais cela peut bien durer longtemps tout en étant heureux).

-La lassitude survient surtout chez les personnes qui aiment changer les choses, déménager, changer de voiture, de produits hifi, la disposition des meubles, etc…
Cette personne risque de se lasser de vous si vous ne faite pas un effort pour vous adapter à ses demandes. Efforts souvent considérables que tout le monde ne veut ou ne peut mettre en place.

- L’exaspération peut se rapprocher de lassitude mais dans une forme violente alors que la première  en  serait la forme latente.
L’exaspération est le dépit, voir l’injustice que nous procure l’autre quand il nous prend à parti ou quand son comportement montre une certaine violence à notre encontre, un esprit de reproche pris souvent comme une injustice,  voire une volonté de nuire.

Il y en a beaucoup d’autres, mais je vais m’arrêter à ces trois là qui me paraissent primordiales. Il va sans dire que nous parlons ici de généralité du couple, et que ces trois éléments peuvent être subis par des femmes aussi bien que par des hommes.

Quelques solutions

Heureusement, il existe des solutions à ce genre de mauvaises choses. Et c’est ce que je vais essayer de vous expliquer, tout au moins de mon point de vue.

La routine est une gangrène pour les couples qui recherche la passion éternelle. Celle-ci ne peut être seulement cassée par  une relation sexuelle par mois, par un voyage d’une semaine au Maroc ou l’achat d’un nouveau home cinéma.
La routine doit être cassée (et c’est ici que ça se complexifie) continuellement. Il faudra faire attention de ne pas introduire un élément qui parait nouveau mais qui va se transformer en habitude (genre, une relation sexuelle tous les samedis soir, ou une fellation tous les premiers du mois, une rose à chaque anniversaire...).
Non, il faut casser les choses en profondeur, doucement, presque sans s’en rendre compte.

Cette manière de faire à un autre avantage, c’est de prévenir également à la lassitude et l’exaspération. Inconsciemment un homme verra que vous avez changé et tout aussi inconsciemment il verra que vous faites des efforts dans son sens.

J’en profite pour expliquer que le “je suis comme je suis, j’ai pas à changer pour toi” est une grossière erreur autant, dans notre cas, que dans la vie en société. C’est une posture égoïste qui remet au placard le socle de la viabilité d’un couple et plus généralement la vie sociale avec les autres : le compromis.

Un couple se doit de faire des compromis s’il veut durer. Parfois c’est difficile car il faut savoir se remettre en question et changer. Mais ne changeons nous pas tout au long de la vie ?

Ces derniers peuvent être facilement ou difficilement réalisables. En voici des propositions :

L'exemple des vêtements

Par exemple (et c’est ici que commencent mes conseils pratique aux femmes) si vous ne mettiez pas de sous-vêtement sexy (ou si vous aviez arrêté) il est temps de s’y (re)mettre. Attention, de faire ça doucement, genre, pas string porte-jarretelles, dentelles, un soir, comme ça, tout d’un coup. Mais faite-le progessivement, sans vraiment y paraître...
Ensuite, et c’est une chose importante, gardez à l’esprit que ses sous-vêtements doivent lui plaire.
Deux choses en découlent :

D’abord, il faudra qu’il les voient, et par conséquent, changer ses habitudes, sexuels, d’abord, comme ne pas éteindre la lumière. ou ses habitudes quotidiens, comme ne pas se cacher quand vous vous habillez, ou les lui laisser deviner, dans certaines situations de la vie.
Enfin, il faudra acheter des sous-vêtements qui lui plaise à lui, même si ce n’est pas ce que vous auriez trouvé joli. Attention de ne pas céder à ses caprices, c’est toujours vous qui devez avoir le dernier mot, essayer de l’amener à choisir pour vous par exemple, une forme de manipulation.
Un conseil, que je n’ai peut-être pas besoin de dire, essayer de garder des sous-vêtements un tant soit peu confortables, ne vous sacrifiez pas.

En dehors de la lingerie intime, votre façon de vous habiller, particulièrement quand vous êtes avec lui, pas seulement quand vous sortez mais aussi à la maison, doit être en adéquation avec ce qu'il attend de vous (toujours avec raison). Faite en sorte qu'il se comporte de même. Achetez lui des vêtements et laissez-le vous en acheter… Soyez sa belle à lui, pour lui...

L'exemple du sexe

Un autre exemple, le sexe : faites quelques petits ajustements.
Si vous êtes en général active, essayer de vous laisser faire.
Si vous avez l’habitude de rester passive, essayer d’entreprendre l’acte d’autant plus qu’un homme à besoin qu’on le stimule, surtout s’il est fatigué de sa journée, s’il a l’habitude de vous entendre refuser, etc.
Essayer de changer et d’introduire (ah ah) de la nouveauté, comme, l’épilation totale,  une fellation surprise en sortant de la douche, de nouvelles positions, du sexe anal (anulingus compris), du chocolat, en plein air, à plusieurs etc… Essayez d'augmenter la fréquences des rapports. S'il est comblé de ce point de vu (vidé) il aura moins de raisons d'aller se vider ailleurs. En passant, plus vous aurez de fréquents rapports plus monsieur sera performant et endurant ! A méditer...
Attention cependant à ne pas vous forcer. Ce n’est pas dans votre intérêt ni dans celui de votre partenaire. Et faite en sorte que ce que vous donner vous soit rendu. Initié-le au clitoris au cunnilingus, aux caresses et plus généralement à votre corps, à votre plaisir… Vous pourriez presque lui demander de s’épiler !

L'exemple socio-psychologique

Enfin, votre homme doit être heureux de vous voir. Si ce n’est pas le cas, voire carrément qu’il en redoute, il faut absolument faire quelque chose rapidement.
Si vous l’accueillez avec des reproches, ça commence mal (bon après, ça dépend aussi de la gravité de la faute).
Pour le garder, il faut qu’il veuille rester avec vous. Il faut prendre en compte, que ce qui lui a plu en vous, a peut-être changé, que lui même également, a pu changer dans ces envies.
Vous devez faire attention à tout cela afin de vous adapter à lui, à ses demandes, dans la mesure qui sera la vôtre. Il faut faire attention à lui, ni plus ni moins et il fera attention à vous.
Bien sûr, encore une fois, il faudra que l’effort soit réciproque. Dans ce cas, parlez-lui de vos propres envies et demandes et essayer de trouver des compromis.
S’il ne fait pas d’efforts de son côté, c’est un connard de macho est vous feriez mieux de trouver un meilleur parti.
Dans un second temps, s’il il doit être content de vous retrouver, c’est qu’il est parti. Oui, parce qu’à part le travail, l’homme, comme la femme, d’ailleurs, à besoin d’espace, de se libérer.
Laissez le sortir, dans la mesure du raisonnable, faire des activités sans vous. Si vous avez bien fait pour qu’il revienne, il sera heureux de vous retrouver sans vous avoir été infidèle.

Une laisse : la testostérone

Parce que les hommes, c’est presque comme les chiens : Il faut les sortir de temps en temps, la laisse à porter de main, ne pas les engueuler quand ils rentrent et leur caresser la queue régulièrement.

Et oui, mesdames, quoi qu’on vous dise, les hommes ont un besoin sexuel différent du vôtre. Il faut qu’on se vide de temps en temps afin de ne pas accumuler de pression, et parfois, l’onanisme ne suffit plus. C’est une histoire de testostérone (là aussi, pas de généralité).
Si en plus, d’autres éléments du couples vont mal, le risque de répondre à la disponibilité d’une autre augmentent rapidement, que l’on ait de la volonté et de l’honneur, ou pas.

Le sexe, mesdames, est une sorte de laisse que vous mettez à votre mari. Une laisse dont la solidité sera proportionnelle non seulement à la qualité de vos rapports sexuels mais aussi à la quantité. Sans trop n’en faudrait, un homme se satisfera par une moyenne d’un rapport par semaine avec une approche du bonheur à deux ou trois fois par semaine, voire presque tous les jours, et ce, peu importe le type de rapports sexuel, d’une petite masturbation au grand jeu ! .
Attention toutefois de ne pas exagérer et de l’épuiser ou de la lasser, c’est déjà arrivé.

Si vous faites ces petits efforts, non seulement vous lui ferez plaisir mais vous lui donnerez envie de vous le rendre (chose que vous devrez accepter et non refuser).
Si en plus votre hygiène sexuelle est de qualité et fréquente, vous contrôlerez votre homme.

Et oui, mesdames, le sexe n’est pas le moyen de pouvoir qu’exerce l’homme sur la femme, mais bien le contraire : ce pouvoir est entre vos mains (et accessoireme

mardi 26 février 2013

Peillon, les profs, l'école et... ah oui, les élèves



J'ai vu depuis l'annonce spectaculaire de ce monsieur, qui m'a l'air fort sympathique, sur le raccourcissement des vacances d'été, des débats de différentes natures...

Mais je constate que tous tournent autour de la même idée : Il faut réformer l'EN en profondeur.
Et oui, ce que les médias disent (les profs ne sont pas d'accord) je ne le vois pas, mais je m'aperçois qu'en fin de compte, ce sont les syndicats qui ne sont pas contents : ah..., je comprends mieux !

A  la rigueur, le point de désaccord principal est : "Cette question des rythmes scolaires est un piège. Ce n'était pas la bonne question. Les dirigeants en ressortent plus technocrates que jamais." de Mara Goyet.

Oui, c'est de la poudre aux yeux, un faux débat (ce n'était pas le but, de créer le débat), une mesurette pendant que le principal problème n'est pas résolu.

Mais je trouve alors que parfois on est un peu dur avec ce monsieur (Peillon) qui essaye de faire pour le mieux, car oui, il faut être accroché pour trouver un compromis valable entre tous les protagonistes...
En tout cas, ce que je pense, c'est que c'est déjà un début de piste pour un premier pas de réforme en profondeur (oui, c'est assez infime, mais bon, un petit pas pour l'école un grand pas pour l'éducation nationale ; euh..., c'est pas de moi !)...

En effet, cette mesure permettrait de décharger la semaine des élèves qui est extrêmement lourde !

Mais voilà ce que je propose pour continuer dans cette voie :

Je préconise de faire travailler les élèves le mercredi matin (voire après-midi aussi en lycée), mais de ne pas travailler le samedi.
Ensuite, raccourcir (voire supprimer) aussi quelques petites vacances inutiles.

De revoir entièrement les programmes scolaires, de faire travailler le matin et de consacrer l'après-midi aux langues, au sport, aux arts, à la musique, à la philo, à la lecture, à l'instruction civique, à une nouvelle matière "vie sociale et citoyenne", aux travaux pratiques et de méthodologie....

Je lui propose de (mieux) recruter plus de profs, de (mieux) les former à leur métier (au début et en continue), de les payer mieux et plus... (les enseignants sont extrêmement important, il convient de les payer à leur juste importance).
Remettre les IUFM en gardant le minimum BAC+5 (mais licence de la matière d'enseignement + nouveau master de science de l'éduc). En tout cas un syst-me dans le genre, avec stage d'un ou deux ans et réforme de tout le système de poste.

Après et grâce à tout ça, je lui propose de faire en sorte que les élèves soient heureux d'aller à l'école (et pas juste pour voir les potes, les mecs ni les filles), et pas que ce soit une obligation (qui ne l'est pas d'ailleurs).

Je lui propose de réduire la masse administrative de l'éducation nationale qui coûte cher, souvent inutile voire qui est une barrière contre-productive et une barrière aux décisions urgentes, aux projet d'établissements et autres projets de classe, aux initiatives enseignantes... Et qui coûte cher ! (j'en profiterais pour en parler aussi au ministre de l'intérieur.)

Je lui propose de revoir l'organisation de l'EN afin de pallier au manque de professeurs remplaçants. Et de faire quelque chose de clair, simple, rapide, pratique et avantageux.

Je lui propose de prendre en charge les enfants tout au long de la journée, le soir, voire le week-end, via des clubs et des ateliers pédagogiques de qualité, de diversité et de quantité suffisantes (sport, musiques, arts, jeux, langues, théâtre...) ou/et des aides aux devoirs. Bien sûr, pour cela il faudra payer des gens, professeurs ou nouveau agent de la fonction publique (sans que ce soit des charlots, bien sûr)

Je lui propose de mettre plus l'accent sur les langues et de revoir complétement les méthodes d'enseignements de celles-ci.

Je lui propose de ne pas essayer de spécialiser les élèves mais de leur enseigner à savoir faire plusieurs choses, à être curieux et créatif et à prendre des initiatives.

Je lui propose d'écouter les grands pédagogues plus que les politiciens afin d'améliorer les méthodes d'enseignement et d'évaluations (ah ! les notes...)
.
Enfin, je lui propose de réduire l'effectif des classes afin que celui-ci ne dépasse pas 25 élèves par classes et 15 élèves en cours de langue (ce qui suppose la réouverture d'écoles ; et si ça coûte trop cher, ré-ouvrir des écoles écologiques et auto suffisantes en énergie, cela créera en plus des emplois).

Et oui, il faut y mettre de l'argent et de la sueur pour avoir une bonne éducation en France !

Si je m'écoutais je vous expliquerais ma thèse sur l'importance des tenues (pas uniformes) d'école, mais ça, je vous en ai déjà parlé ici : http://songesenpleineface.blogspot.jp/2009/10/poly-uniforme-lecole.html

A bientôt,

lundi 16 avril 2012

"Sous le signe du feu" partie 7

Bonjour,


Juste pour vous annoncer la suite de la nouvelle érotique.


A bientôt.

dimanche 24 juillet 2011

Francophones de Hamamatsu

Juste un petit message pour faire profiter à tout le monde du groupe Facebook des Francophones de Hamamatsu.

Si vous parlez français et que vous habitez ou avez habitez à Hamamatsu au Japon, n'hésitez pas à nous rejoindre.

Et comme on parle de réseaux sociaux, je me suis mis dernièrement à utiliser Google+ ! Si quelqu'un veut essayer, qu'il me donne son adresse Gmail.

Bonne continuation à tous.

samedi 16 avril 2011

"Sous le signe du feu" partie 6


Salut,


Vous vouliez la suite, et bien, la voilà !

Vous pouvez cliquer sur le titre pour être redirigé...


vendredi 4 mars 2011

"Sous le signe du feu" partie 5



Salut,

Et oui, ce blog n'est pas mort. Il est seulement en sommeil paradoxal. Ou alors un peu comme dans Saint Seya, tout comme Dohko, le chevalier d'or de la Balance, vous savez, le maître de Shiryu, le chevalier de bronze du dragon, qui a hérité du souffle des dieux, le Misopethamenos...

Ce blog tourne au ralentit donc, mais je n'oublie rien. J'ai même des tas de choses à dire, mais pas vraiment de temps pour les écrire.

Enfin, bon, on y arrivera quand même !

Donc, cliquez sur le titre pour être redirigé vers mon autre blog Ero pour la suite de "Sous le signe du feu".

Merci de me suivre...

mercredi 4 août 2010

Grande nouvelle !


Bonjour à tous, 


Une grande nouvelle : voici la 4ème partie de ma nouvelle érotique. 

C'est long, je le conçois, mais plus c'est long, plus c'est bon, non ? 

En tout cas ça devient chaud du côté de notre Léo. A voir pour la suite. 

Donc voici le lien : 

Des songes en pleines fesses. 


N'hésitez surtout pas à laisser des remarques. Merci de me lire.